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L’Histoire par les histoires

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Répliques célèbres

L’Histoire par les histoires

Lors d'un échange entre les deux rivaux politiques du 18ème siècle, John Montagu, Comte de Sandwich, et le réformiste John Wilkes. Montagu dit à Wilkes  « Monsieur, je ne sais pas si vous mourrez sur l'échafaud ou de la syphilis. »

 Réplique de Wilkes :

« Cela dépend, monsieur si j'embrasse vos principes ou votre maîtresse. »

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 Lady Astor apostropha un jour Winston Churchill : 
 « Monsieur Churchill, vous êtes ivre ! » 
 Réplique de Churchill : 
 « Et vous, Madame, vous êtes laide... Mais moi, demain, je serai sobre ! »

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Cindy Crawford à Amanda Lear lors d'un cocktail : 
 « Merci de m'avoir envoyé votre livre, je l'ai adoré. Mais dites-moi, qui vous l'a écrit ? » 
 Réplique d'Amanda : 
 « Je suis ravie que vous ayez apprécié mon livre. Mais dites-moi, qui vous l'a lu ? 
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Le Prince de Conti était fort laid. Aussi sa femme le trompait sans vergogne. Un jour, en partant, il lui dit : 
« Madame, je vous recommande de ne pas me tromper pendant mon absence. » 
Réplique de sa femme : 
« Monsieur, vous pouvez partir tranquille : je n’ai envie de vous tromper que lorsque je vous vois. »

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Churchill fit un jour la remarque suivante à son George Bernard Shaw (alors très maigre contrairement à ce premier de forte corpulence) : 
« À vous voir, tout le monde pourrait penser que la famine règne en Angleterre. » 
 Réplique de Shaw : 
« À vous voir, tout le monde pourrait penser que c'est vous qui en êtes la cause. 

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Lors d'une visite du palais de Blenheim (maison ancestrale de la famille Churchill , Lady Astor, l'icône féministe, se retrouva à discuter des droits des femmes avec Winston Churchill, qui n'était pas réputé pour son affection pour le sujet. 
Au sommet de leur désaccord, Lady Astor s'écria : 
« Winston, Si j’étais votre épouse, je mettrais du poison dans votre verre ! » 
Réplique du tac au tac de Churchill : 
« Eh bien moi, Nancy, si j’étais votre mari, je le boirais ! »

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Sacha Guitry et Yvonne Printemps, son épouse du moment, se promènent dans un cimetière. 
« Lorsque vous serez là, on pourra écrire sur la pierre : Enfin froide, » déclare galamment le spirituel Sacha. 
« Et quand vous y serez, sur la vôtre on pourra écrire : Enfin raide.

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Je ne sais plus quel animateur de télé pose cette question fondamentale à Michel Blanc : 
« Être chauve, est-ce un handicap ? » 
« Je suis chauve, mais j'ai une queue de cheval ! »
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Au Conservatoire national d'art dramatique, Louis Jouvet, professeur, à François Périer, jeune élève : 
 - Si Molière voit comment tu interprètes ton Don Juan, il doit se retourner dans sa tombe. 
Et Périer de répliquer du même ton : 
- Comme vous l'avez joué avant moi, ça le remettra en place.

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Anna Tyskiewicz, future comtesse Potocka, cachait avec soin un strabisme divergent. 
Mais Talleyrand, le plus célèbre pied-bot de l'Histoire, connaissait cette infirmité. 
Un jour, elle s'avisa de lui demander : 
 - Comment allez-vous, Prince ? 
 - Comme vous voyez, madame, répondit Talleyrand.

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 -« Le maréchal va beaucoup vous manquer…» dit-on à l’épouse du Maréchal de Boufflers après qu’il fut décédé. 
 -« Peut-être. Mais au moins, je saurai où il passe ses nuits » réplique-t-elle.

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Monsieur de Rivarol, combien d’années me donnez-vous ? » demandait une vieille coquette à l’homme célèbre. 
 Réponse : 
 -«Pourquoi vous en donnerais-je Madame ? N’en avez-vous donc pas assez ?"

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 A la fin d'un dîner organisé par Winston Churchill, le maître d’hôtel du héros de la guerre présente la cave à cigares aux invités. L’un d’entre eux, sans le moindre scrupule, en prend cinq, les met dans sa poche et déclare : 
 "C’est pour la route. » 
 « Merci d’être venu d’aussi loin, lui lance Churchill. »

Le Pèlerin


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